Les Pti Lu Dé Fil, société créée par la couturière Céline Jacob, spécialisée dans les retouches et confections sur tout ce qui peut se coudre. Sa fondatrice souhaitait prendre conscience de son attitude en zone d’inconfort de manière à mieux gérer ses émotions et ainsi mieux savoir mettre les autres dans l’engagement.
Les Pti Lu Dé Fil
"Maintenant, quand je sens que je monte en stress, je pense à cette expérience et je me calme."
CONTEXTE
OBJECTIFS DE LA MISSION
- Déterminer les zones d’inconforts via le pilotage automobile.
- Prendre conscience de son attitude grâce au coaching personnalisé.
- Travailler sur la gestion des émotions et du stress.
- Développer ses facultés d’empathie de manière à mettre les autres dans l’engagement.
PLAN D'ACTION ET METHODE
- Nous avons utilisé comme support le pilotage sur circuit. Cette approche nous permet de déterminer les zones de confort de chacun puis d’en sortir progressivement pour « jouer » avec les différents niveaux de stress et les émotions de manière contrôlée.
- Le sujet de la gestion des émotions est un vrai sujet puisque la cause a effet est directe entre la manière dont nous réussissons à gérer notre stress et nos émotions et l’efficacité de nos compétences relationnelles.
- Ces compétences relationnelles sont la base du management et du leadership, c’est-à-dire comment nous pouvons mettre dans l’engagement nos collaborateurs pour un manager, prospects et clients pour un commercial.
- Les interactions en collectif vont stimuler l’intelligence collective car nous savons très bien que c’est la sommes des réflexions qui font émerger les meilleures idées.
RÉSULTATS
Le témoignage adressée par Céline Jacob lors d’un interview publié sur Le Bien Public du 22 octobre 2018 est éloquent :
« J’ai fait trois tours au volant de cette puissante voiture avec Thierry CESAREO à mes côtés, je me suis vite sentie en confiance et j’ai accéléré. J’ai pu monter jusqu’à 220km/h. De retour au stand, j’avais le sourire jusqu’aux oreilles, persuadée que j’avais géré. Mais le visionnage de la vidéo a révélé un visage que je ne me connaissais pas : yeux exorbités, sourcils extrêmement froncés : je faisais peur à voir. C’est ce reflet de moi-même qui m’a permis de comprendre que l’image que l’on pense renvoyer est totalement fausse. Maintenant, quand je sens que je monte en stress, je pense à cette expérience et je me calme ».